Un long dimanche de fiançailles est un filme d'après un livre.
vendredi 5 août 2016
dimanche 22 mai 2016
Balzac ou la Petite Tailleuse chinoise
J'ai choisi ce passage de Balzac (p.) « Jusqu'a cette rencontre volée avec Jean Christophe, ma pauvre tête éduquée et rééduquée ignorait tout simplement qu'on put lutter seul contre le monde entier. Le flirt se transforma en grand amour. Même l'excessive emphase a laquelle l'auteur avait cede ne me paraissait pas nuisible a la beauté de l'oeuvre. jetaits literalment englouti par le fleuve puissant des centaines de pages. c'était pour moi le livre recve: une fois que vous l'aviez fini, ni votre sacrée vie ni votre sacrée monde n'étaient plus les memes qu'avant. »
J'ai choisi cet extrait du livre Balzac ou la Petite Tailleuse Chinoise car la manière dont il est écrit me plait beaucoup. J'aime les métaphores que l'auteur emploi pour décrire des émotions très fortes qui sont très joie car c'est l'amour, la fascination d'un personnage envers un livre et c'est un sentiment très joli. En plus les livres, lire est aussi le thème de cette histoire, et c'est important de le voir et le sentir.
Orgueil et Prejugés
Orgueil et Préjugés est un livre de Jane Austen. Il raconte l'histoire des quatres soeur Bennet, de leur relations amoureuses, c'est un roman d'amour. La plus importante, la plus belle histoire est celle d'Elizabeth Bennet et Mr. Darcy.
J'ai adore ce livre car c'est une très belle histoire, un jolie histoire d'amour et je trouve qu'elle est bien racontée. En plus ce roman est divisé en trois parties, trois actes comme le fait Shakespeare, un auteur que j'adore. J'ai aussi lu ce livre en anglais.
Les Hauts de Hurle-Vent
Les Hauts de Hurle-Vent est un livre d'Emilie Brontë. C'est une histoire qui montre soit des personnages atroces, vraiment méchants, mais aussi les plus gentils.
J'ai bien aimé comment l'histoire est raconté, c'est Mr. Lookwood qui vient d'arriver dans Hurle-Vent, qui raconte que sa servante lui raconte une autre histoire, celle des propriétaires des terres.
Ce livre m'a beaucoup plus, je trouve l'histoire très jolie même si les thèmes ne le sont pas trop, pleine de sentiments. En plus, l'auteur n'a jamais vécu ça, elle a tout inventé et je trouve que c'est très réussi. C'est aussi le seul roman qu'elle a écrit.
Romeo et Juliette
Romeo et Juliette est une pièce de theatre de William Shakespeare. C'est l'histoire de deux grandes familles qui se détestaient les Montaigu et les Capulet. Mais Romeo Montaigu et Juliette Capulet tombent éperdument amoureux l'un de l'autre et malgré leurs familles peuvent être (même un court temps) ensemble.
J'adore ce livre je l'ai lu au moins trois fois. J'aime beaucoup l'auteur et l'histoire est vraiment très bien. J'ai aussi vu a la Comédie Française cette pièce et j'ai très aimé.
mercredi 18 mai 2016
Rédaction
Lorsque j’aurai 80 ans, je serai vielle, j’aurai déjà vécu toute une vie. Mon visage sera tout ride, usé comme les paumes de mes mains, mais l’on me reconnaitra comme même. Mes yeux marron foncé auront perdu leur couleur et il ne me restera plus qu’un regard vide. Mes cheveux bruns et forts puissant seront gris, faibles, ils tomberont peu a peu, pareil aux pages jaunies d’un vieux livre, à qui les mots commenceront a s’effacer lentement, il ne me restera plus que des vieux souvenirs.
Avec le temps, je perdrai la joie de vivre, je ferai chaque fois moins de choses. Mon mari, Leonardo, sera mort depuis peu, et il ne me reste plus que mes 27 chiens, ma seule consolation. Je n’aurai plus personne a part eux, car les 3 enfants que j’ai eu sont partis vivre lion après la mort de leur père et ils ne me laisseront plus approcher mes petits -enfants, ils penseront que ce sera ma faute. Il m’arrivera parfois de rêver que l’on est encore une famille unie, avec Leo et mes enfants. C’est pourquoi je commencerai à mourir, lentement.
mercredi 20 avril 2016
La visite de Daniel Paz
![]() |
Daniel Paz nous a fait un dessin en souvenir de sa visite |
Mardi 12 avril, le dessinateur Daniel Paz est venu nous rendre visite à l'école.
C'est un dessinateur de presse, il travail pour le journal "Pagina 12".
Nous lui avons posés pleins de question, par exemple : S'il devait réfléchir pour dessiner ou l'idée lui venait toute seule? Il nous a répondu que ça dépendait, parfois quand il se promenait a vélo, il avait une inspiration soudaine, mais sinon il devait s'assoir et réfléchir.
J'ai trouvé cette visite très interessante.
Son blog : http://danielpaz.com.ar/blog/
Seuls
J'ai lu la bande dessinée, Seuls, tome 1.
C'est l'histoire de cinq enfants qui se réveille un matin, et tout le monde a disparu, il ne reste plus qu'eux. Au fil de l'histoire, il y a plein de mystères, de suspens, et je penses que c'est pour ça que cette BD a beaucoup plu.
Cette BD montre plusieurs personnages stéréotypés, je pense que c'est pour que l'on puisse s'identifier facilement a un personnage.
J'ai bien aimé cette BD, je la conseille à ceux qui aime lire.
vendredi 25 mars 2016
Le temps du
bienheureux conducteur au volant de son 4 × 4, évoluant dans les steppes
mongoles, le désert de Gobi ou les glaciers de Patagonie, semble révolu. Selon
Europe 1, le juge des référés de Nanterre a condamné mardi Toyota à supprimer
dans un délai d'un mois les publicités qui représentent des véhicules
stationnés ou circulant en milieu naturel.
L'association
France nature environnement (FNE) est à l'origine de la plainte. Le juge s'est
appuyé sur un article du code de l'environnement stipulant qu'il est
"interdit de faire des publicités mettant en scène des véhicules qui ne
soient pas sur le domaine public routier".
"En
laissant croire au public que la possession de ce type de véhicule vaut permis
de tout faire dans la nature, la diffusion de ce type de publicité fait,
d'évidence, la promotion de comportements contraires à la protection de
l'environnement et à la préservation des ressources naturelles", a commenté
le juge des référés de Nanterre.
Après avoir
été mis en demeure de retirer les publicités – mise en demeure superbement
ignorée par la marque japonaise – le constructeur automobile a donc été
condamné à supprimer "toute publicité représentant des véhicules installés
dans le milieu naturel en dehors des voies de circulation", et ce,
"sous astreinte de 100 euros par jour et infraction constatée". Avec
un chiffre d'affaires avoisinant les 55 milliards d'euros, Toyota a encore de
la marge.
"Moncœur" ou les parents
culcul-la-praline
M le magazine du Monde | 02.05.2014
| Jean-Baptiste Talbourdet/M Le magazine du Monde
622 mots
Non, je n'ai pas fait de faute, c'est de « moncœur »
que je veux parler.
Ou plutôt « monccuyieur ». Un mot qui se dit d'une traite, sans respirer.
J'ai passé, la semaine dernière, une demi-heure éprouvante dans une salle
d'attente face à une mère enamourée qui parlait à son garçon de 3 ans en
l'appelant « moncœur » toutes les dix secondes. Faites le calcul. Les
trente minutes passent lentement. Et la salle d'attente était si petite que
l'on se frôlait dès qu'on tournait une page de Voici. J'ai tout essayé pour ne pas me faire
prendre
la tête par les rafales de moncœur. Feuilleter
le meilleur quotidien français, consulter
les courriels sur mon i-Phone, écrire
des SMS, lire
un livre d'économie, méditer… Rien à faire.
« Moncœur, moncœur, moncœur… »
« Non, pas comme ça, moncœur (…). Fais attention, moncœur (…). Tu veux colorier,
moncœur (…). Reste assis, moncœur (…). Tu gênes le monsieur, moncœur… » Mais, bon
Dieu, cet enfant n'a-t-il donc pas de prénom ? Vous savez, un pré-nom.
Rappelez-vous, quand son père est
allé le déclarer
à la mairie, il a écrit quoi sur le registre ? Moncoeur Dupont ? Il y a de quoi
les rendre
débiles, ces pauvres enfants, ou leur fabriquer
de beaux problèmes d'identité, à les saouler
de moncœur… J'ai pensé pour me consoler
au jour où le grand ado tout poilu allait gueuler
d'une voix “muée” à sa mère : « Mais
arrête de m'appeler
moncœur ! »
MANQUE D'IMAGINATION
J'ai aussi
pensé à toutes ces « amies » Facebook
que j'ai « défriendées » parce qu'elles ne pouvaient s'empêcher
d'informer
la Toile entière de tout ce que faisait « moncœur » (ou « mon
ptitcœur »). Et quand je dis tout, c'était vraiment tout. Le sommeil, la
rougeole, le pot (ah ça, très important, le pot), les déguisements, les goûters
d'anniversaire, les bêtises et bien sûr… les mots d'enfant. Comment expliquer
qu'on n'écrit pas ces trucs-là ? Que, une fois transcrit, ça devient
immensément nunuche ? A la limite, on en parle en vitesse dans le métro du
matin : « Tu sais pas ce qu'il me
fait ? Une varicelle. » Car, bien sûr, « moncœur » n'est
pas juste malade, il « nous fait » une maladie. Ou alors on
raconte vite fait, entre deux stations, une réflexion amusante du
« gââmin ». Sans insister.
On sourit et on passe à autre chose. Mais l'écrire
comme statut de Facebook,
entre une info sur l'effondrement d'une crèche de vingt étages en Arizona et la
vidéo de fail d'une chanteuse refaite, quelle horreur ! Oui je sais, les mêmes
qui appellent leur progéniture « moncœur », nommaient ainsi leur
amoureux avant d'être
mère. Moncœur a migré. On n'y peut rien. Je ne critique pas.
Le manque
d'imagination n'est pas une tare. D'ailleurs, j'ai trouvé plusieurs sites et un
blog qui donnent des exemples de lettres, messages et SMS d'amour à utiliser
quand on veut écrire
à « moncœur » et qu'on est en panne d'inspiration. De jolies
phrases-types pour toutes les occasions. Des mots bien dégoulinants de coucher
de soleil et de corolles de fleur. Or,
le cœur n'a pas toujours été cette rengaine mièvre. Cherchez dans des
dictionnaires d'étymologie les anciennes façons d'écrire
le cœur en français, vous verrez : au XIe siècle, c'est le quors ou
le quers ou le coer ou le cuer. Le point commun à toutes ces occurrences était
qu'on y parlait de volonté, de courage, d'ardeur… et d'affect certes, mais de
temps à autre. Puis l'Eglise en a fait le siège de la grâce. Et ce n'est finalement
qu'assez tardivement qu'il est devenu avant tout ce truc tout mou chanté par
Verlaine, Anna de Noailles… et les milliers de parents cucul-la-praline.
mardi 15 mars 2016
La France à l’épreuve du grand âge
LE MONDE ECONOMIE |
20.01.2016 à 17h12 • Mis à jour le 21.01.2016 à 14h18 | Par Frédéric
Cazenave
http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/01/20/la-france-a-l-epreuve-du-grand-age_4850612_3234.html#rpoGoHFirIJupVgB.99
550 mots
(...) La France
compte déjà davantage de personnes de plus de 60 ans que de moins de 20 ans. Et
cette tendance va s’accélérer du fait de l’augmentation de l’espérance de vie :
le nombre des plus de 85 ans (1,4 million actuellement) va quasiment quadrupler
d’ici à 2050. Heureusement, la grande
majorité vieillit et vieillira dans de bonnes conditions. Mais ce n’est pas le
cas de tous. Aujourd’hui, 1,2 million de personnes âgées souffrent de perte
d’autonomie. Ce chiffre doit doubler d’ici à 2060. Pour elles, la loi ne va pas
changer grand-chose, même si elle présente déjà le mérite d’exister.
(...) « Le vieillissement, la perte d’autonomie, la mort
restent mal acceptées dans nos sociétés occidentales. Cela va à l’encontre de
notre quête sans fin pour la technologie, les progrès de la médecine, explique le sociologue Serge Guérin. Les politiques font donc carrière sur les jeunes, c’est beaucoup plus
vendeur : on investit pour la jeunesse, alors que les sommes consacrées à
la vieillesse sont considérées comme des dépenses en pure perte. Et pourtant,
ne pas traiter
ce sujet est particulièrement angoissant dans une société qui, justement,
vieillit. »
Faudrait-il
alors transformer
ce qui est perçu comme un fardeau en une opportunité ? Michèle Delaunay, la
prédécesseure de Mme Rossignol, a tenté de le faire en s’improvisant
VRP de la « silver économie ». Objectif : mettre
l’accent sur le potentiel économique du vieillissement, source de croissance et
de créations d’emplois, ce qui n’est pas du luxe par les temps qui courent.
Autre point positif de ce défi démographique, il doit être l’occasion de repenser l’urbanisme, les logements, les transports pour les rendre accessibles. Le chantier est colossal : l’Agence nationale de l’habitat (ANAH) estime à 2 millions le nombre de logements occupés par des ménages de plus de 60 ans devant être adaptés pour faire face au handicap.
Sans les aidants, pas de maintien
à domicile
En fait, la
question du vieillissement doit interroger
l’ensemble de la société. L’importance du rôle joué par les aidants, par
exemple, mérite mieux que la simple reconnaissance prévue dans la loi. De
nombreux pays européens investissent sur cette solidarité familiale en adoptant
des politiques particulièrement généreuses à leur égard.
En France, on en est loin, ce qui peut paraître contradictoire, puisque sans eux le maintien à domicile des personnes en perte d’autonomie devient impossible. A ce titre, les entreprises doivent elles aussi s’impliquer, au vu du nombre croissant de salariés accompagnant un proche dépendant. « La moitié des aidants étant en activité, les entreprises, les partenaires sociaux doivent s’emparer de cette question. Ce sujet doit être davantage porté par les syndicats », souligne Laurence Rossignol.
Accepter cette transition démographique devrait enfin être de nature à renforcer le lien entre les générations, à l’image du développement de ces résidences où vivent, ensemble, anciens et plus jeunes. « Cette solidarité intergénérationnelle est le ciment de notre société. Il faut sortir du jeunisme ambiant et s’organiser pour que chacun, jeune et moins jeune, trouve sa place, souligne Jean-Manuel Kupiec. En creux, c’est ce lien que cherche à préserver la loi sur l’adaptation de la société au vieillissement, même si, derrière ces bonnes intentions, les moyens ne suivent pas. »
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